Nous travaillons dans le respect de la nature et de nos vignes. Nous n’utilisons plus de
désherbant chimique.
Nous pratiquons l’enherbement et le labourage superficiel pour permettre de préserver la structure de notre sol et la vie qui s’y trouve. Pour renforcer les défenses naturelles de la vigne, nos traitements sont associés à des plantes sous forme d’extrait fermenté d’ortie ou de décoction de prêle que nous réalisons nous-mêmes selon la saison.
Les pieds atteints des maladies du bois sont arrachés pour en éviter la propagation.
Nous n’utilisons plus d’acaricides grâce au prédateur naturel : le Typhlodrome.
Nous utilisons la confusion sexuelle : cette technique biotechnique perturbe le rapprochement des papillons mâles et femelles, Le nombre de chenilles est donc réduit ainsi que les dégâts associés sur la plante et le tout, sans l’utilisation d’insecticides.
Plutôt que d’enlever ou de brûler les sarments, nous les broyons pour les réincorporer dans la terre tout en la nourrissant.
Nous préférons également utiliser un amendement biodynamique pour apporter au sol la matière organo-minérale dont il a besoin.
Pour protéger la vigne tout en réduisant la quantité de produits phytosanitaires, les traitements sont réfléchis et se font selon l’intensité de la maladie et le temps.